De loin l’on aperçoit les longues oreilles des chèvres de r ace Tchadienne, ou Arawak dans le parc des ruminants à la FIARA au CICES. Elles sont amenées par L’opérateur de Bétail et Eleveur Massamba Diéye dit Mass venant de Fatick où il est installé. Il est habitué de la FIARA, qu’il connait depuis plus d’une vingtaine d’année ; mais qui pour la deuxième fois participe en tant qu’Opérateur de Bétail ;une activité qu’il a débuté depuis 1996 avec des partenaires Maliens et Nigériens D’autres espèces sont présentes dans le parc à l’instar des Moutons de race Shaoquine, une race de chair introduit en Lybie ; c’est aussi les races Tchadienne et Azawak ;mais bovines avec l’Azawak du Brésil en provenance du Niger ;D’autres races de chèvres telles que les Boers et les Red d’Afrique du Sud pouvant peser de 100 à 140 Kg ; Cette année encore le focus est mis sur les Chèvres où trône le Hijazi du Pakistan ; une race de chèvres dont le poids peut avoisiner 300 Kg : mais aussi les Alpines, les Saanes qui sont aussi des chairs et laitières à côté de la Rousse de Maradi.Masse estime qu’en réalité ‘ de nos jours, la tendance oscille vers les chèvres les éleveurs plus résistantes et dont les tabous préjugés comment à tomber ;Les prix pour les chèvres de race varient entre 100 .000 à Un million et les moutons entre 150.000 à 300.000 francs CFA ;Masse recommande de ‘s’inspirer des pays voisins en matière de développement de l’élevage où le Sénégal gagnerait en avantage comparatif ; A pareil moment de l’avis de Massamba ; ces pays nous damnent le pion ; »Massamba informe que le Nigérien se réclame éleveur, réellement il est éleveur et possède un éleva accessible par les populations ; c’est ç dire un élevage de développement qui est accessible à la population qui est différent d’un élevage de prestige. D’où repenser notre élevage reste un impératif pour nous en considérant l’agriculture et l’élevage comme des ressources continues ; ce qu’il faut faire de l’avis de Massamba c’est l’amélioration des discussions et des échanges au niveau locale entre les pays notamment le Burkina Faso , le Mali , le Niger et le Sénégal ; et c il considère en outre que ce qu’on aille chercher en France , l’on peut le retrouver ici chez nous en Afrique de l’Ouest et développer « le commercer ensemble » tout en sélectionnant, améliorant et développant Massamba considère que la FIARA a bien débuté ; ce que l’on note c’est l’absence des partenaires Européens et Africains notamment le Niger , le Mali le Burkina Faso avec qui des discussions intéressantes étaient menées ainsi que les échanges. Enfin il s’est longuement appesanti sur l’avenir du sous-secteur, l’alimentation, l’eau, la sécurité et le vol de bétail et le vol de bétail des sujets qu’il compte développer. Pour la suite .Babacar sene journal Agropasteur