Ainsi Monsieur Ibrahima Seck jette de loin la moisson future aux sillons pour conforter la vision a court moyen et long terme sur l’Agroécologie et l « Agriculture biologique pour aller en cohérence au lieu du pilotage à vue .En mettant en relief le thème qui porte sur  » Financer la transformation de Systèmes alimentaire et nutritionnels durables pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique de l’Ouest à travers l’Agriculture biologique : quelles politiques . mécanismes et instruments? » M. Seck estime que nous mêmes , possédons le financement considérant le poids financier de nos ressources que nous mettons au service de la dette il est urgent pour lui de convaincre les gouvernements, ainsi que les bailleurs de fonds publics ou privés bilatéral ou multilatéral « que la conversion de la dette pourrait financer en partie ce que nous voulons ». Mais aussi mettre l’accent sur la gestion des connaissances endogènes et scientifiques car de l’avis de M. Seck  » les fondamentaux de l « Agroécologie et de l’Agriculture biologique se fondent sur les logiques paysannes M Seck a souhaité devant les institutions d’intégration la maîtrise de l’eau partout a travers des investissements structurants en plus de l’accès à l’électricité par la scolarisation ; c’est aussi pour lui de changer de paradigmes en explorant d’autres niches à l’instar de celles sur la lutte contre le réchauffement climatique ou l’Agroécologie permet une bonne séquestration de carbone ; il constitue le meilleur instrument de résilience de l’adaptation de l’atténuation en vue d’une transformation face au changement climatique En concluant M. Ibrahima Seck s’est attardé sur les Marchés en exhortant tous à explorer les marchés zonaux ou territoriaux. Les terroirs ,les zones agroécologique et de l’agrégation au niveau national régional du fait que le développement ce sont les grands ensembles Babacar séne Journal Agropasteur.