La consolidation des acquis,le renforcement de la durabilité des investissements, la mise à l’échelle des activités « transformatrices », et l’accroissement et le renforcement de l’autonomisation des femmes et des jeunes des populations pastorales. « Plus d’une centaine de participants vont se retrouver à Dakar au Sénégal autour de deux activités que le CILSS organise à savoir la clôture de la phase 1 du projet PRAPS sous un format d’atelier de partage de connaissances sur les résultats et acquis du projet et le lancement officiel de la seconde phase du projet (PRAPS-2).Sont concernés les Acteurs de mise en œuvre du projet, les Ministères de tutelle du PRAPS dans les 6 pays les Institutions sous régionales (CEDEAO, UEMOA, etc.) ; CILSS et Secrétaires Permanents des Comités nationaux du CILSS (SP-CONACILSS) des 6 pays d’intervention ; acteurs de programmes/projets intervenant dans le pastoralisme ; Organisations pastorales régionales ; Partenaires internationaux et régionaux évoluant dans le secteur du pastoralisme au Sahel ; AllianceSahel, agences/ institutions régionales et internationales spécialisées pour leur permettre d’’avoir une compréhension commune des objectifs du projet et des mécanismes de mise en œuvre. Avec l’appui de la Banque mondiale, le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) financé à hauteur de 248 millions de USD, soit environ 150 milliards de FCFA a été mis en œuvre six (6) années durant (2015-2021) au Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad sous la coordination régionale du CILSS et le leadership politique de la CEDEAO et de l’UEMOA.A la fin de la phase 1 du projet, les résultats enregistrés par les actions conjuguées de l’ensemble des acteurs ont induit de grands changements au sein des six (6) pays du projet et au niveau régional entraînant ainsi d’autres partenaires techniques et financiers à soutenir le pastoralisme et à le promouvoir à travers de nouveaux projets.En raison de la persistance de certains défis et des évolutions récentes, les pays et la Banque mondiale ont convenu de poursuivre les efforts engagés par le projet en développant une deuxième phase du PRAPS, permettant de consolider certains acquis, de renforcer la durabilité des investissements, de mettre à l’échelle certaines activités « transformatrices », et d’accroitre les actions visant à renforcer l’autonomie des femmes et des jeunes des populations pastoralesDoté d’une enveloppe financière de 375 millions de dollars US financée par la Banque mondiale, le PRAPS-2 comporte des réalisations nationales qui seront mises en œuvre par les pays et une dimension régionale de coordination et de mise en œuvre d’activités de nature régionale, sous la responsabilité du CILSS, mandaté par les pays pour coordonner le projet sous l’égide politique de la CEDEAO et de l’UEMOA.Les objectifs visés à travers l’organisation de ces ateliers de clôture de la phase 1 et de lancement de la phase 2 sont de partager d’une part , les résultats/acquis obtenus des six (6) années de mise en œuvre du projet , partager les bonnes pratiques et enseignements tirés dans la mise en œuvre du projet sur la base des travaux de capitalisation et de l’évaluation rétrospective réalisés au niveau des six (6) pays du projet et au niveau régional, et d’autre part procéder non seulement au lancement officiel des activités du PRAPS-2 au niveau régional mas aussi en profiter pour créer un cadre d’échanges et de partage d’informations autour des mécanismes de mise en œuvre du projet avec l’implication de tous les acteurs concernés et sensibiliser les parties prenantes sur les objectifs et résultats attendus du projet.L’espoir est permis de croire qu’au sortir de ces ateliers notamment pour la phase 1 les principaux résultats et acquis du PRAPS sont connus et partagés de mêmes que les enseignements, les leçons apprises des différentes expériences innovantes et « success stories » les défis de la mise en œuvre,et des bonnes pratiques dégagées, les solutions potentielles et les perspectives pour renforcer les acquis du projet au cours de la phase 2 et partagées.. Et pour le lancement de la phase 2 les parties prenantes sont nformés dun démarrage effectf des activités du PRAPS-2 et sont imprégnées des objectifs, résultats attendus, activités et des stratégies d’intervention du projet ; et aux partenaires du projet de discuter des modalités opérationnelles d’exécution Pour rappel que c’est à Nouakchott lors de la Déclaration dite de Nouakchott sur le pastoralisme en octobre 2013 qu’une invite à été lancée sur l’impérieuse nécessité de mettre en place une alliance solide pour soutenir le pastoralisme en rassemblant l’expertise et les ressources de l’ensemble des acteurs, conformément aux priorités des pays et en intégrant la dimension des dynamiques régionales d’actions.C’est aussi la nécessité de soutenir et valoriser le pastoralisme au Sahel, à travers la combinaison de plusieurs actions et interventions.Avec une première phase mise en œuvre six (6) années durant (2015-2021) au Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad avec l’appui de la Banque mondiale, les résultats ont induits de grands changements au sein de l’espace PRAPS .En raison de la persistance de certains défis et des évolutions récentes, les pays et la Banque mondiale ont convenu de poursuivre les efforts engagés par le projet en développant une deuxième phase du PRAPS, permettant de consolider certains acquis, de renforcer la durabilité des investissements, de mettre à l’échelle certaines activités « transformatrices », et d’accroitre les actions visant à renforcer l’autonomie des femmes et des jeunes des populations pastorales. A signaler que pour cette deuxieme phase du PRAPS q’une forte communication soit assurée autour du projet qui constitue un projet pionnier d’envergure en soutien au pastoralisme dans la sous-région que d’aucuns dénomment « le Dromadaire »