Ainsi se dessinent de nouveaux horizons dans la restauration des terres ; di huit ( 18) pays sont à l’avant-garde de cette prochaine phase du LDN TSP20 qui est une phase clé dans la lutte contre la dégradation des terres dans le monde, alors UN programme qui déploiera sa deuxième phase constituant une phase clé dans la lutte contre la dégradation des terres dans le monde, entraînant 18 pays de plusieurs régions à renforce leurs engagements en matière de restauration des terres avant la 16e Conférence des Parties à la CNULD (COP16). Cette avancée significative est devenue le point central du récent atelier sur le « Renforcement des objectifs et des engagements en matière de restauration des terres » à Doha, au Qatar, soulignant l’engagement renouvelé de la communauté mondiale en faveur d’une gestion durable des terres. Organisé en marge de l’Expo 2023 de Doha en février, l’atelier a réuni les points focaux nationaux de la CNULD, les principaux consultants nationaux et les principaux représentants d’organisations internationales, telles que la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, le Programme des Nations Unies pour le développement. , Organisation pour l’alimentation et l’agriculture, Fonds mondial pour la nature, Conservation International, Coopération allemande au développement et Infrastructure mondiale du G20.L’atelier a favorisé l’engagement des pays travaillant activement au renforcement de leurs objectifs de NDT en introduisant de nouveaux outils et lignes directrices pour la planification intégrée de l’utilisation des terres et en facilitant l’identification des zones de restauration prioritaires qui s’alignent sur les objectifs politiques nationaux. L’atelier a également offert l’occasion d’explorer les synergies opérationnelles avec des initiatives environnementales majeures, en mettant fortement l’accent sur l’importance d’améliorer les mécanismes de suivi et de reporting des objectifs de NDT.« Le LDN TSP 2.0 représente une opportunité unique pour 18 pays champions de présenter de manière innovante et audacieuse les efforts de mise en œuvre de la CNULCD au niveau supérieur en réponse directe à la crise mondiale de dégradation des terres, ouvrant la voie à d’autres pays pour suivre, » a fait remarquer Pedro Lara Almuedo, chef d’équipe LDN TSP .L’objectif des LDN TSP 2.0 est d’aider les pays à affiner leurs objectifs nationaux vers des initiatives réalisables et mesurables. Le programme souligne l’importance d’améliorer la gouvernance foncière en utilisant la cartographie spatiale et la surveillance pour lutter efficacement contre la dégradation des terres. Les progrès et les connaissances obtenus grâce au programme seront partagés lors de la COP16 de la CNULD à Riyad, en Arabie Saoudite, en décembre prochain. Avec 131 pays engagés dans le TSP LDN depuis 2016, plus de 450 millions d’hectares engagés dans la restauration et 106 pays ayant publié leurs objectifs NDT, l’impact de l’atelier ouvre la voie à des contributions significatives à la COP16 pour relever les défis régionaux et propulser les efforts mondiaux de lutte contre la désertification. La neutralité en matière de dégradation des terres est essentielle pour atteindre l’ODD 15.3, offrant des Co-bénéfices tels que la réduction de la pauvreté, la sécurité alimentaire, l’autonomisation des femmes, la protection de l’environnement, la conservation de la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles. La NDT contribue également à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique en transformant les terres dégradées en puits de carbone. Le LDN TSP 2.0, défendu par les 18 pays – Argentine, Bénin, République centrafricaine, Géorgie, Jordanie, Kenya, Kirghizistan, Malawi, Namibie, Nigeria, Pakistan, Panama, Pérou, République de Moldavie, Afrique du Sud, Sri Lanka, Saint-Pétersbourg Lucia et Türkiye – vise à démontrer les progrès et à guider de nouvelles actions au-delà de la COP16 en réponse au besoin urgent d’efforts mondiaux accélérés pour restaurer les terres productives. Babacar sene babaclimat/journal Agropasteur