Le Sommet est terminé sous le coup d’une déclaration commune arrimée sur une position commune des 54 pays dans les négociations climatiques,
La réunion des ministres de l’environnement à huis clos a proposé la prochaine étape du Sommet sur le climat Dubaï en décembre lors de la COP 28, la 28e conférence des parties de la convention des Nations unies sur les changements climatiques (COP28).
L’unité du continent dans la lutte contre le dérèglement climatique a été tous saluée faisant planer un sentiment d’espoir de tous pour les prochaines étapes ;
Ainsi le Sommet s’est terminé en irradiant à tous l’espoir nourrissant pour la prochaine étape prévue à Dubaï lors de la COP 28 avec l’adoption d’une déclaration finale, dite Déclaration De Nairobi » faisant connaitre la position commune africaine dans la lutte mondiale contre le changement climatique et aller de manière résolue vers la concrétisation du potentiel du continent africain pour une croissance
Dans leur déclaration finale, les pays africains demandent notamment à la communauté internationale : de contribuer à “augmenter la capacité de production d’énergies renouvelables de l’Afrique de 56 gigawatts en 2022 à au moins 300 gigawatts d’ici 2030 (…) pour lutter contre la précarité énergétique et de renforcer l’approvisionnement mondial en énergie propre et rentable » ; c’est aussi la restructuration et l’allégement de la dette
Les pays africains , proposent également d’établir « une nouvelle architecture de financement adaptée aux besoins de l’Afrique y compris la restructuration et l’allégement de la dette », dont le fardeau pèse lourdement sur leurs économies, et appellent aussi les dirigeants de la planète à « se rallier à la proposition d’un régime de taxe sur le carbone, comprenant une taxe carbone sur le commerce des combustibles fossiles, le transport maritime et l’aviation, qui peut également être augmentée par une taxe mondiale sur les transactions financières ».
23 milliards de dollars de promesses d’investissement dans les énergies renouvelables ont été faites, a affirmé le président Ruto, dont 4,5 milliards de dollars d’investissements de la part des Émirats arabes unis.
babaclimat