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Le Sommet des entreprises semencières de deux jours, dont le thème est « Construire une feuille de route harmonisée pour la transformation du secteur semencier », est organisé en collaboration avec le ministère béninois de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP), l’Institut national béninois de recherche agricole (INRAB). ) et d’autres parties prenantes

Le sommet se tiendra du 20 au 22 juin 2024 à Cotonou, la capitale béninoise. Le forum vise à catalyser une révolution agricole au Bénin en établissant un système semencier économiquement durable pour les cultures prioritaires comme le riz, le manioc, le maïs, le soja, le bétail, le poisson, le sorgho et le mil.

IITA, TAAT et Sasakawa réunissent les parties prenantes pour une feuille de route sur les semences : « une révolution agricole au Bénin en établissant un système semencier économiquement durable pour les cultures prioritaires comme le riz, le manioc, le maïs, le soja, le bétail, le poisson, le sorgho et le mil. »

.Le consortium comprend le gouvernement du Bénin, Technologies pour la transformation agricole en Afrique (TAAT) de la Banque africaine de développement, le projet Building an Economically Sustainable Integrated Cassava Seed System, Phase 2 (BASICS-II) de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA), la Sasakawa Africa Association (SAA) au Nigéria, Sahel Consulting et Mennonite Economic Development Associates (MEDA).

.Selon le directeur du TAAT Clearinghouse, le Dr Solomon Gizaw, « ce sommet représente une réponse directe à la nécessité d’organiser une consultation publique plus complète pour identifier les défis majeurs, développer des solutions et plaider en faveur de davantage d’investissements dans l’agriculture béninoise ».

« Ce sommet sur les semences réunira des décideurs politiques, des institutions financières internationales, des scientifiques, le secteur privé et des organisations paysannes autour d’une table ronde pour négocier des investissements pour la transformation de l’agriculture béninoise avec des intrants de qualité, en particulier les semences comme principal point d’entrée », a ajouté le Dr Gizaw. .

Le responsable du projet BASICS-II, le professeur Lateef Sanni, a expliqué que « le sommet sur les semences produira des résultats qui constitueront la base des futurs investissements dans le système semencier du Bénin. Il produira des recommandations pour aider à élaborer une feuille de route qui alimentera les politiques et les plans agricoles du pays.

« Le sommet abordera les facteurs limitant la croissance du secteur agricole béninois, notamment le secteur semencier sous-développé caractérisé par des semences de mauvaise qualité, un cadre réglementaire semencier faible, un système de recherche en difficulté pour le maintien des variétés et une faible participation du secteur privé dans le système semencier », déclare le Dr Godwin Atser, directeur national de la SAA-Nigeria.

« Un système semencier solide va sûrement changer le paysage agricole du pays. Lors de ce sommet, la SAA, BASICS-II, TAAT et d’autres partenaires partageront les modèles qui renforcent actuellement le système semencier au Nigeria, en Tanzanie, en République démocratique du Congo, en Sierra Leone et au Libéria, a ajouté le Dr Atser.

Le Ministre béninois de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Hon. Gaston Cossi Dossouhoui, présidera la cérémonie d’ouverture du sommet avec le soutien d’autres dignitaires et partenaires au développement.

Outre les organisateurs, plusieurs parties prenantes nationales, notamment des agriculteurs, des producteurs de semences et des partenaires internationaux de développement, participeront au sommet.

Il s’agit notamment de la Banque africaine de développement (BAD), de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), de la Banque mondiale, de l’Union européenne, du Programme alimentaire mondial (PAM), de l’Agence des États-Unis pour le développement international ( USAID), GIZ et JICA.

D’autres incluent AfricaRice, la Fondation africaine pour les technologies agricoles (AATF), l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT), le Centre mondial des légumes (WorldVeg), l’Institut international de recherche sur l’élevage (ILRI) et le WorldFish Centre. Babacar sene journal Agropasteur(CP FeedAfrica)

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