Pr Abdourahmane Tamba Sécretaire Exécutif de SOS environnement à Ngaparou Enseignant Chercheur en biologie marine Professeur à la retraite au Sénégal a constaté cette invasion.qu’il considère comme « un épiphénomène qui peut malheureusement revenir plus fort. Il peut constitué un véritable catastrophe écologique. »Ol.n’a pas cherché de » midi à quatorze heures « pour proposer des pistes de solution considérant le risque de péril qu’elle peut causer .L’Expert Agrienvironnemental Chercheur est largement revenu sur les caractéristiques de l’Algue Sargassum qui est bien connue depuis la mer des Caraïbes jusqu’en Amazonie qui est théoriquement son biotope d’origine .Des spécialistes soutiennent que la prolifération de cette espèce d »algue est liée à la déforestation des terres proches d’un littoral qui entraîne un apport massif de nutriments vers ce littoral Une thèse dont le Pr Tamba considère comme une hypothèse mais à forte présomption semble t-il dire car selon.lui « en l’absence de forêt ou d’une strate végétale comme la mangrove par exemple sous nos latitudes, il n’y plus rien pour contenir l’afflux de ces nutriments directement à la mer par les eaux ( ruissellements rivières etc.) « Cet afflux de nutriments entraîne la prolifération d’algues voraces et très compétitives comme les Sargasses. Suivant sa logique l’Enseignant Chercheur Pr Tamba passe en revue la typologie des algues notamment celle aussi gloutonne en nutriments de couleur verte qui agit ainsi mais de manière localisée au Sénégal à la Baie de Hann: c’est la laitue de mer. Pr Tamba informe dans ce cas que « Tant que la prolifération est contrôlée cela a un impact positif sur l’environnement dans la mesure ou l’algue fait des réserves en nutriments qu’elle va stocker dans son corps végétatif en même temps qu’elle fait la photosynthèse en débarrassant le milieu hydrique et même aérien environnant de son gaz carbonique qu’elle va séquestrer. »Le Chercheur Pr Tamba a longtemps travaillé sur l’Algue qui ,selon lu fait ainsi la séquestration du carbone.Ce qui fait dire au Pr Tamba par ailleurs Secrétaire Executif de SOS Environnement que « C’est donc bien pour l’environnement et en particulier pour la couche d’ozone ».Pr Tamba informe qu’il ya de l’hydrogène sulfuré capable de provoquer surtout chez les enfants les femmes et les personnes âgées, des affections pouvant être létales.du fait de la forte concentration de soufre par le Sargassum .Pr Tamba estime que » Malheureusement avec l’apport interrompu de nutriments, l’algue continue sa croissance illimitée, occupe tout l’espace physique étouffe toutes les autres espèces animales et végétales en réduisant leur provision en oxygène jusqu’à l’anoxie ( raréfaction, absence d’oxygène ) : c’est l’eutrophisation qui s’en suit, asphyxie tout être vivant et qui finit par se retourner contre sa cause elle même : la SARGASSE! « C’est à ce stade que commence la décomposition des amas de l’algue et le début des émanations de gaz dont le plus néfaste est l’hydrogène sulfuré (Sargassum concentre beaucoup de soufre) capable de provoquer surtout chez les enfants les femmes et les personnes âgées, des affections pouvant être létales informe Pr Tamba.Dans le contexte environnemental Sénégalais en cas d’invasion par les Sargasses l’ Enseignant Chercheur en biologie marine PrTamba appelle non seulement à la réactivité et de manière prompte en collaboration avec deux catégories de collectivités locales celles du littoral et celles de l’intérieur du terroir dont les sols sont appauvris mais aussi de collecter massivement les Sargasses les étaler les sécher au soleil puis les dessaler par la pluie et procéder à leur enfouissement sous une mince couche de terre avec une source de bio décomposeurs comme la bouse pour les transformer en compost. De l’avis du Chercheur Pr Tamba :Ce compost servira à mineraliser des sols dégradés et à augmenter leurs capacités de rétention d’eau grâce aux colloïdes contenus dans les Sargasses.Ainsi les minéraux d’origines continentales concentrés par les Sargasses jusqu’à l’eutrophisation seront restitués au continent pour idéalement servir l’agriculture et l’élevage… »Une autre alternative pourrait bien être l’alimentation humaine et animale oû , les Sargasses non altérées par l’eutrophisation constituent une source de vitamines et de minéraux capables de corriger des carences nutritionnelles..(À utiliser cependant modérément sous contrôle de biologistes ou de médecins.)L’Enseignant chercheur nourrit son ambition.de voir les algues comme alternative alimentaires dans les systemes alimentaires pour nourrir les africains comme le font les asiatiques et enrichir les sols .Le PR Tamba , estime étre guidé seulement par son instinct de conservation et de survie face au danger, plutôt que par l’attitude disciplinée souhaitable du scientifique, *qui se réfère à des normes pour diffuser une information.* Il mesure l’importance de l’alerte en s’éloignant des perceptions critiques ou recriminatoires contre un quelconque démembrement de l’état. Le courage et la foi en bandoulière Pr Tamba profite de l’occasion au nom de l’ONG SOS environnement dont il est le Secrétaire Exécutif » pour saluer le professionnalisme du ministère de l’environnement qui a réagi promptement à l’alerte qui a été donnée en dépêchant sur les lieux sa cellule spécialisée dans la prévention des catastrophes écologiques. »Pr Abdourahmane Tamba Enseignant Chercheur en biologie marine salue cette initiative mais demande d’aller nécessairementr plus loin par la mise en place d’une cellule (interministérielle associée aux collectivités locales) de veille contre ce fléau qui, une fois ainsi déclaré, reviendra encore chaque année : ceci est consacré par des observations scientifiques rigoureuses suivies de déductions subséquentes dans les baies des Caraïbes. « »Une fois son cycle rotatoire installé, les secteurs de la pêche de l’hôtellerie et du tourisme en paient un lourd tribu souvent hélas, au prix de leurs existences économiques. »conclut -il.Babacar Sene Journal Agropasteur/babaclimat/ Enseignant Chercheur Pr A.Tamba