Dans leurs déclarations finales, de nombreuses parties ont souligné la nécessité, entre autres : définir un nouvel objectif quantifié collectif ambitieux en matière de financement climatique, conforme aux besoins des pays en développement ; mettre en œuvre les résultats de la première TPS, notamment en […]
Un atelier de renforcement des capacités sur l’outil AGDATAHUB conçu et mis en œuvre par l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM) pour faciliter et accélérer la transition numérique du secteur agricole est organisé pour les membres de la Plateforme CCASA ,la […]
Encore une belle édition qui s’annonce ! Le SOMMET DE L’ÉLEVAGE affiche complet au niveau des exposants. C’est donc un nouveau record battu avec plus de 1 650 exposants et près de 97 000 m² de stands commercialisés (vs 92 000 m² en 2023). C’est la […]
Le Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (TIRPGAA ou Traité) vise à conserver la diversité des cultures et à partager ses avantages pour le bien-être humain et planétaire. Le Traité a été adopté le 3 novembre 2001 par la Conférence de […]
Le Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (TIRPGAA ou Traité) vise à conserver la diversité des cultures et à partager ses avantages pour le bien-être humain et planétaire. Le Traité a été adopté le 3 novembre 2001 par la Conférence de la FAO, après sept années de négociations. Il est entré en vigueur le 29 juin 2004 et compte actuellement 151 parties. Le Traité international pour les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (Traité), constitue un outil essentiel pour favoriser la diversité des ressources génétiques des plantes. Les agriculteurs et les sélectionneurs en dépendent pour faire face aux défis globaux en matière de perte de fertilité des sols et de biodiversité et d’adaptation au changement climatique. Conclu sous les auspices de la FAO, le Traité est un instrument juridiquement contraignant qui vise la conservation et l’utilisation durable des RPGAA, ainsi que le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation, en harmonie avec la CDB, pour une agriculture et une agriculture durables. la sécurité alimentaire. Le traité établit un SML pour faciliter l’accès à une liste spécifiée de RPGAA comprenant 35 genres de cultures et 29 espèces fourragères (Annexe I), et institutionnalise le partage des avantages monétaires et non monétaires provenant de l’utilisation de ces ressources dans les domaines de la commercialisation, de l’échange d’informations. , le transfert de technologie et le renforcement des capacités. Les points tournants clés s’articulent autour de l’organisation de la GB1 la première session du GB du Traité (juin 2006, Madrid, Espagne) qui a adopté l’accord standard de transfert de matériel (SMTA) et la stratégie de financement. L’Accord standard de transfert de matériel (SMTA) comprend des dispositions sur un système de partage des avantages, offrant deux options. Premièrement, le bénéficiaire peut choisir de payer 0,77 % des ventes brutes provenant de la commercialisation de nouveaux produits incorporant du matériel obtenu à partir du MLS, si sa disponibilité pour des tiers à des fins de recherche et de sélection ultérieures est restreinte. Alternativement, le destinataire peut choisir de payer 0,5 % des ventes brutes sur tous les produits RPGAA des espèces auxquelles il a accédé à partir du MLS, que les produits incorporent ou non le matériel consulté et que les nouveaux produits soient disponibles ou non sans restriction. Le GB a adopté outre son règlement intérieur, y compris la prise de décision par consensus mais aussi des règles financières avec des options entre parenthèses sur un barème indicatif des contributions volontaires ou des contributions volontaires en général ;une résolution établissant un comité de conformité ,l’accord de relation avec le Global Crop Diversity Trust et un accord type avec le GCRAI et d’autres institutions internationales.Babacar sene journal Agropasteur /babaclimat
Selon un responsable américain qui la confirmé l’information « le Président des États-Unis ne prévoit pas d’assister à la COP28 cette semaine ou lors d’une deuxième séquence vers la fin des négociations « Ainsi le président américain ne se rendra pas à la COP28, conférence de l’ONU […]
Selon un responsable américain qui la confirmé l’information « le Président des États-Unis ne prévoit pas d’assister à la COP28 cette semaine ou lors d’une deuxième séquence vers la fin des négociations « Ainsi le président américain ne se rendra pas à la COP28, conférence de l’ONU sur le climat, qui débutera jeudi à Dubaï réaffirme le responsable américain dimanche, citant notamment les exigences liées à la guerre au Moyen-Orient. Faut-il y voir un recul de l’engagement climatique des États-Unis ? Le président Joe Biden a participé à la COP26 de Glasgow en 2021 oû il avait annoncé le retour des États-Unis sur la question de la lutte contre le réchauffement climatique après le retrait de l’accord de Paris décidé par son prédécesseur Donald Trump .Il a récidivé à la COP27 organisée l’an dernier à Charm el-Cheikh en Egypte. La conférence de l’ONU sur le climat, qui se tient à partir de jeudi et jusqu’au 12 décembre aux Émirats arabes unis, devrait réunir un record de plus de 70 000 participants, selon la présidence émiratie, dont le pape François. Ni l’agenda de Joe Biden, ni celui de la vice-présidente Kamala Harris, tous deux publiés par la Maison Blanche, ne mentionnent de déplacement à Dubaï cette semaine. Le responsable n’a pas communiqué le motif de la décision de Joe Biden ;Il faut noter qu’il n’était pas d’usage que le président américain assiste à chaque conférence des Nations unies sur le climat avant l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche. L’on se pose sur la question des mesures spectaculaires immédiates pour lesquelles l’ONU réclamait?C’est aussi la question sur les énergies fossiles et sur leur réduction ; oû on en est sur le blocage ;Babacar sene babaclimat
Allô Abidjan, Pékin, Le Caire, en ce 3 novembre 2023 , pour la première fois, les présidents de la dernière Conférence des Parties (COP) de chacune des trois Conventions de Rio notamment Désertification (Abidjan, Pékin Biodiversité et Le Caire Changement Climatique) ont décidé d’unir leurs […]
Allô Abidjan, Pékin, Le Caire, en ce 3 novembre 2023 , pour la première fois, les présidents de la dernière Conférence des Parties (COP) de chacune des trois Conventions de Rio notamment Désertification (Abidjan, Pékin Biodiversité et Le Caire Changement Climatique) ont décidé d’unir leurs forces. Ainsi à trois semaines de l’ouverture de la COP28 à Dubaï, les Présidents :Ont souligné l’urgence de la situation et les liens inextricables entre le changement climatique, la désertification et la perte de biodiversité ;Ont appelé à une approche coordonnée aux niveaux international et national pour aborder ces questions de manière globale ;Ont plaidé pour davantage de coopération entre les trois COP et leurs secrétariats ;Et ont demandé des mesures urgentes et concrètes pour protéger la population mondiale, l’environnement, les terres et la biodiversité afin de garantir un avenir durable aux nouvelles générations. Ils l’ont fait dans une déclaration commune historique publiée aujourd’hui, signée selon le communiqué de presse du secrétariat de l’UNCCD par :Alain-Richard Donwahi, ancien Ministre des Eaux et Forêts de la République de Côte d’Ivoire et Président de la COP15 de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification (UNCCD)Sameh Shoukry, ministre égyptien des Affaires étrangères et président de la COP27 de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC)Huang Runqiu, ministre de l’Écologie et de l’Environnement de la République populaire de Chine et président de la COP15 (CBD) de la Convention sur la diversité biologique Lors de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement tenue à Rio en 1992, la communauté internationale a décidé de créer trois conventions différentes pour lutter contre le changement climatique, mettre fin à la désertification et prévenir la perte de biodiversité. Cependant, à mesure que ces trois phénomènes s’accélèrent, les interconnexions entre eux s’amplifient, créant un cercle vicieux. Briser ce cercle vicieux nécessite une vision holistique et une approche coordonnée. Avec cette déclaration commune, les trois présidents espèrent ouvrir un nouveau chapitre dans la lutte contre le changement climatique, la désertification et la perte de biodiversité, celui d’efforts coordonnés pour faire face à l’urgence. Pour rappel la COP15 de la CNULD est la Conférence des Parties (COP) à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) qui rassemble les dirigeants des pays signataires de la Convention, du secteur privé, des ONG et de la société civile. Il vise à lutter contre la désertification et à atténuer les effets de la sécheresse, à promouvoir la gestion durable des terres, à réhabiliter et restaurer les terres et les écosystèmes dégradés, à mobiliser des ressources financières, à développer des technologies pour soutenir les pays touchés et à renforcer la coopération et les partenariats internationaux pour lutter contre ces phénomènes. Comme la COP sur la biodiversité, la COP sur la désertification se réunit tous les deux ans. Sa dernière grande réunion s’est tenue en mai 2022 à Abidjan. Depuis le précédent sommet jusqu’au prochain qui se tiendra à Riyad en décembre 2024, la COP sur la désertification a été présidée par la République de Côte d’Ivoire, représentée par Alain-Richard Donwahi.Babacar sene journal Agropasteur/babaclimat(Communiqué de presse de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification)
Du 1er au 10 décembre, le Pavillon Terre et Sécheresse organisera un large éventail de dialogues de haut niveau, de séances de présentation de l’innovation et de discussions interactives soulignant l’importance de terres saines en tant que solution climatique et le besoin urgent de renforcer […]
Du 1er au 10 décembre, le Pavillon Terre et Sécheresse organisera un large éventail de dialogues de haut niveau, de séances de présentation de l’innovation et de discussions interactives soulignant l’importance de terres saines en tant que solution climatique et le besoin urgent de renforcer la résilience à la sécheresse. Toutes les sessions seront ouvertes aux délégués accrédités de la COP28 et se tiendront dans la Zone bleue, Zone B7 (Arène thématique Nature), bâtiment 87, 1er étage, stand 205 .La terre et la voie vers la décarbonisation et la résilience. La CNULD et la CCNUCC travaillent ensemble Il n’y a pas de solution viable à la crise climatique sans transformer la manière actuelle dont les terres sont utilisées, gérées et gouvernées. Renforcer la résilience des systèmes naturels et humains est une priorité élevée à la fois pour la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) et pour la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).Le réchauffement climatique contribue et aggrave la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse dans de nombreuses régions du monde. Les boucles de rétroaction qui se renforcent mutuellement entre la dégradation des terres et le changement climatique aggravent les défis du développement durable de nouvelles manières synergiques. Babacar sene journal Agropasteur /Babaclimat
A la COP l’association Climat Chance compte on centrer ses activités sur la transmission et la promotion de ses messages autour de 3 thèmes principaux . »Time for Accountability », à l’occasion du Bilan mondial, un tour d’horizon approfondi au niveau mondial des progrès réalisés par les […]
A la COP l’association Climat Chance compte on centrer ses activités sur la transmission et la promotion de ses messages autour de 3 thèmes principaux . »Time for Accountability », à l’occasion du Bilan mondial, un tour d’horizon approfondi au niveau mondial des progrès réalisés par les acteurs non étatiques : entreprises, gouvernements locaux et société civile, pour piloter l’action climatique depuis l’Accord de Paris en 2015, sur la base de nouvelles analyses du Rapport de synthèse mondial sur l’action climatique 2023 de l’Observatoire , son rapport annuel phare présenté chaque année lors des COP climat. Un ‘agenda COP28 très chargé articulé autour de panels constitué d’événements parallèles officiels de la CCNUCC qui réuniront un éventail de partenaires, dont la World Benchmarking Alliance (WBA) et le Climate Action Network (CAN).Ainsi l’occasion sera donnée pour aborder les questions de transparence, de crédibilité des plans de transition et de suivi de l’impact , en proposant des outils pour alimenter le Bilan mondial à partir d’une approche non étatique. Les recommandations opérationnelles énoncées dans la Feuille de route de Yaoundé pour des habitats durables en Afrique , document adopté par l’ensemble des réseaux et acteurs non étatiques réunis au Cameroun lors de la Conférence Climate Chance Afrique les 23 et 24 octobre, et désormais signé par une cinquantaine d’organisations. Sur cet enjeu majeur, la COP28 sera également l’occasion de participer à l’événement de lancement de la campagne Housing Matters portée par ONU-Habitat. C’est le moment pour Climate Chance de réunir un panel d’intervenants de haut niveau pour partager expériences et opportunités de financement carbone dans des projets de conservation de la connectivité bénéficiant à la population locale, à la faune et aux écosystèmes. Climate Chance participera également, avec d’autres experts, à une analyse « sur le terrain » des principaux enjeux et des grandes lignes de l’issue probable de la COP28, organisée par son partenaire le Comité 2 1 .Parmi les intervenants figurent : Jean Jouzel, Climatologue, Ancien membre du GIEC, Président d’honneur de Climate Chance.Il faut noter que depuis sa création depuis sa création en 2015, Climate Chance rassemble tous les acteurs impliqués dans la mise en œuvre des objectifs des Agendas internationaux sur le Climat, la Biodiversité et la Désertification, en cohérence avec les Objectifs de Développement Durable. C’est la seule association internationale cherchant à connecter tous les acteurs non étatiques d’Europe et d’Afrique, travaillant à l’accélération de l’action locale : des gouvernements locaux, entreprises et organisations de la société civile, aux médias, chercheurs et citoyens .Babaclimat /journal Agropasteur
L’information vient de nous parvenir à Dubaï en marge de la COP28 sur le Changement climatique à travers le Communiqué de Presse du Secrétariat de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD),.L’Allemagne accueillera la prochaine Journée de la désertification et […]
L’information vient de nous parvenir à Dubaï en marge de la COP28 sur le Changement climatique à travers le Communiqué de Presse du Secrétariat de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD),.L’Allemagne accueillera la prochaine Journée de la désertification et de la sécheresse le 17 juin 2024, qui marquera également le 30e anniversaire de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), l’une des trois Conventions de Rio aux côtés du climat. et la biodiversité. La Journée de la désertification et de la sécheresse 2024 se concentrera sur le pouvoir transformateur de terres saines pour relever les défis actuels les plus urgents et interconnectés, notamment le changement climatique, la perte de biodiversité, la sécurité alimentaire et hydrique, un modèle pour fournir aux générations futures une planète saine. Cette journée amplifiera un engagement mondial renouvelé en faveur de la gestion durable des terres et de la résilience à la sécheresse à l’approche de la COP16 de la CNULD, prévue du 2 au 13 décembre 2024 à Riyad, en Arabie Saoudite. Cette annonce faite en marge de la COP28 de la CCNUCC en cours à Dubaï, aux Émirats arabes unis, par M. Jochen Flasbarth, secrétaire d’État du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), M. Ibrahim Thiaw, secrétaire exécutif de la Convention, et Mme. Katja Dörner, maire de Bonn et membre du comité exécutif mondial du gouvernement local pour le développement durable (ICLEI) sur l’action climatique et le développement à faibles émissions marque l’adhésion de beaucoup d’acteurs du fait non seulement que la ville de Bonn, accueille le Secrétariat de la Convention depuis 1999,, la capacité de la ville d’organiser une série d’événements autour de la Journée 2024 de la désertification et de la sécheresse mais aussi son rôle en mettant en valeur le rôle des gouvernements locaux dans les efforts de restauration des terres, en présentant des exemples de pratiques d’utilisation durable des terres liées aux politiques urbaines. Ce choix dés lors ne pouvait qu’être plausible. La terre est le fondement du bien-être humain et joue un rôle clé dans la régulation du climat de la planète. Pourtant, jusqu’à 40 pour cent des terres émergées de la planète sont dégradées, affectant près de la moitié de la population mondiale. Depuis 2000, le nombre et la durée des sécheresses ont augmenté de 29 pour cent, représentant un risque grave pour les écosystèmes et les moyens de subsistance des populations. Ibrahim Thiaw, Secrétaire exécutif de la CNULCD, a déclaré : « La Journée de la désertification et de la sécheresse 2024 marquera le 30e anniversaire de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification. En 1994, la communauté mondiale a envoyé un signal clair en ratifiant le seul traité juridiquement contraignant promouvant une bonne gestion des terres. La restauration des terres et des sols dégradés constitue le terrain le plus fertile pour prendre des mesures immédiates et concertées en faveur de la santé de notre planète. Il est désormais temps de réaffirmer cet engagement mondial en libérant le potentiel de la terre, pour les générations présentes et futures. La République fédérale d’Allemagne, par l’intermédiaire du ministère de la Coopération économique et du Développement (BMZ), accueillera l’événement mondial le 17 juin 2024. L’événement réunira d’éminentes personnalités internationales et allemandes ainsi que le grand public pour sensibiliser à la désertification et à la dégradation des terres. et la sécheresse. Jochen Flasbarth, secrétaire d’État du ministère fédéral allemand du Développement économique, a déclaré : « Qu’il s’agisse du changement climatique, de la perte de biodiversité, des pandémies ou des crises alimentaires, la qualité des sols joue un rôle central pour relever ces défis mondiaux. Les sols retiennent l’eau et permettent aux arbres et aux plantes de pousser. Nous ne pourrons nourrir l’humanité et faire face à la crise climatique et à ses impacts que si nous disposons de sols sains. En 2024, lorsque la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification célébrera son 30e anniversaire, le gouvernement allemand organisera la Journée de la désertification et de la sécheresse, envoyant ainsi un signal en faveur d’efforts internationaux forts contre la perte de sols fertiles .»« En tant que maire de Bonn, siège de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification, je suis ravi que l’Allemagne accueille la Journée de la désertification et de la sécheresse 2024. Ici, dans la ville allemande des Nations Unies, se trouve le lieu où se réunissent les débats sur le climat, la nature et la terre. – et à partir duquel les actions transversales pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030 sont avancées. Je salue de tout cœur la Journée de la désertification et de la sécheresse ici à Bonn ! En collaboration avec le gouvernement fédéral allemand et sous la direction de la ministre fédérale de la Coopération économique et du Développement, Mme Svenja Schulze, je serai ravie d’organiser un événement significatif impliquant les dirigeants politiques, la communauté territoriale, les acteurs culturels et un public plus large. », a déclaré Katja Dörner, maire de Bonn, dans une déclaration vidéo. Officiellement déclarée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1994 ( A/RES/49/115 ), la Journée de la désertification et de la sécheresse, célébrée chaque année le 17 juin, est une occasion unique de mettre en lumière les solutions menées par l’homme pour prévenir la désertification et inverser l’intensification des sécheresses en investissant dans dans les pratiques d’utilisation durable des terres.2024 marquera le 30e anniversaire de l’adoption de la CNULCD, l’une des trois Conventions de Rio. La désertification, ainsi que le changement climatique et la perte de biodiversité, ont été identifiés comme les plus grands défis du développement durable lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992. Avec ses 197 Parties, la CNULCD est le seul accord international juridiquement contraignant liant l’environnement et le développement à la gestion durable des terres. La Convention vise à aider les pays à lutter contre la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse. Un parcours remarquable depuis des initiatives marquantes telles que la Grande Muraille Verte d’Afrique, la plus grande structure vivante de la planète, jusqu’à l’établissement d’objectifs de neutralité en matière de dégradation des terres – un engagement de 130 pays à mettre fin à la dégradation des terres d’ici 2030.L’Allemagne a été un fervent partisan de la convention tout au long de son histoire. Au cours des 30 dernières années, l’Allemagne a contribué politiquement et financièrement en tant que l’un des partenaires les plus actifs reconnaissant l’importance de terres et de sols sains – à la fois comme cause et comme solution à certains des défis les plus critiques pour l’humanité d’aujourd’hui. Pour rappel la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD) est la vision mondiale et la voix de la terre. Nous unissons les gouvernements, les scientifiques, les décideurs politiques, le secteur privé et les communautés autour d’une vision commune et d’une action mondiale pour restaurer et gérer les terres du monde pour la durabilité de l’humanité et de la planète. Bien plus qu’un traité international signé par 197 parties, la CNULD est un engagement multilatéral visant à atténuer les impacts actuels de la dégradation des terres et à faire progresser la gestion des terres de demain afin de fournir de la nourriture, de l’eau, un abri et des opportunités économiques à tous de manière équitable et inclusive. Babacar sene Babaclimat Journal agropasteur/www.agropasteur.com Dakar Sénégal
Une priorité pour l’Afrique face à la promotion d’une agriculture intelligente face au climat bien reconnue par la BADEA à mis à profit l’organisation de la COP28 aux Emirats Arabes Unis à Dubaï pour offrir une session de présentation sur l’Agriculture Intelligente face au changement […]
Une priorité pour l’Afrique face à la promotion d’une agriculture intelligente face au climat bien reconnue par la BADEA à mis à profit l’organisation de la COP28 aux Emirats Arabes Unis à Dubaï pour offrir une session de présentation sur l’Agriculture Intelligente face au changement climatique qui permettra non seulement aux institutions spécialisées de présenter leurs plans et initiatives sur l’Agriculture intelligente face au climat en Afrique mais aussi présenter ses opportunités de financement et de celles des autres IFD. Ainsi à la Zone 7 au Pavillon 87 au 1er étage au Stand 205, l’espace ne sera pas de trop pour accueillir la BADEA et les institutions spécialisées et d’autres IFD pour faire de la promotion d’une agriculture intelligente face au climat une priorité. Ce qui constitue l’objectif visé la fortifiant ainsi dans sa trajectoire de l’atteinte d’une productivité accrue où il s’agira non seulement de : produire des aliments plus nombreux et de meilleure qualité pour améliorer la nutrition et la, sécurité alimentaire mais aussi augmenter les revenus, en particulier de 75 pour cent des pauvres du monde qui vivent dans les zones rurales et dépendent principalement de l’agriculture pour leur subsistance mais aussi d’améliorer la résilience à travers la réduction de la vulnérabilité à la sécheresse, aux ravageurs, aux maladies et autres les risques et chocs liés au climat ; et améliorer la capacité d’adaptation et de croissance face de stress à long terme comme des saisons raccourcies et des conditions météorologiques irrégulières.et de réduire les émissions pour chaque calorie ou kilo de nourriture produits, éviter la déforestation due à l’agriculture et identifier les moyens d’absorber le carbone hors de l’atmosphère .Si l’on considère que le secteur agricole est le secteur le plus sensible en matière de changement climatique où 90% de l’Agriculture est pluviale en Afrique N est pluviale meilleure option sure ne pouvait être que l’Agriculture intelligente face au climat (AIC) qui est une approche intégrée de gestion des paysages et des terres cultivées,. Mais également du bétail, des forêts et des pêcheries; Elle répond véritablement dans une vision globalisante aux défis interdépendants de la sécurité alimentaire et de l’accélération du changement climatique face à un Continent décrit par la BADEA où plus de 225 millions de personnes sont sous-alimentées constituées par les familles d’agriculteurs ;et qui subit à plein fouet la sur représentativité parmi les pauvres. A noter que la Banque arabe pour le développement économique en Afrique est un organisme financier ayant pour objectif d’être une banque mondiale pour les pays africains. Créée le 28 novembre 1973, et opérationnelle depuis mars 1975 la BADEA vise à contribuer au développement de la coopération économique, financière et technique arabo-africaine, concrétisant ainsi la solidarité arabo-africaine basée sur l’égalité et l’amitié. A cette fin, la Banque est chargée de :Contribuer au financement du développement économique dans les pays africains, Encourager la participation des capitaux arabes dans le développement économique africain, Contribuer à la fourniture de l’assistance technique nécessaire au développement de l’Afrique. Babaclimat/journal Agropasteur/www.agropasteur.com
L’ espoir d’un résultat significatif qui jetterait les bases d’une transition énergétique juste et équitable, conforme aux données scientifiques et à l’objectif de 1,5°C, est suscité à la fin de la première semaine a la COP28 a Dub Le Président de la 28 éme Conférence […]
L’ espoir d’un résultat significatif qui jetterait les bases d’une transition énergétique juste et équitable, conforme aux données scientifiques et à l’objectif de 1,5°C, est suscité à la fin de la première semaine a la COP28 a Dub
Le Président de la 28 éme Conférence des Parties invite dés lors les Parties à soumettre des propositions de compromis sur les énergies fossiles, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Avant leurs adoptions finales .Babacar sene babaclimat /Journal Agropasteur
Le Building 14 au Pavillon B2 abritant les pavillon du Sénégal à la COP 28 au Centre Expo de Dubaï ,a abrité le Side évent organisé par Enda Énergie sur l’anticipation sur les Pertes et Dommages dont le Fond qui leurs sont accordés, a fait […]
Le Building 14 au Pavillon B2 abritant les pavillon du Sénégal à la COP 28 au Centre Expo de Dubaï ,a abrité le Side évent organisé par Enda Énergie sur l’anticipation sur les Pertes et Dommages dont le Fond qui leurs sont accordés, a fait l’objet d’une adoption lors des premiers jours de l’ouverture de la COP28.Une décision saluée par tous les pays en développement dont les, PMA où le Sénégal se retrouve ; Ainsi ,il s’agissait de réfléchir sur les prochaines étapes pour rendre le Fonds non seulement opérationnel mais également accessible et voir les critères d’éligibilité. C’est ce travail d’anticipation lequel Enda Énergie a convié les acteurs ayant une expérience avérée dans le domaine mais aussi l’état les acteurs de la société civile les collectivités locales les élus et ensemble anticiper sur la question des pertes et dommages .A cet effet Enda Énergie se veut pragmatique et se voudra être décisive en cherchant des évidence technique scientifique et même endogène pour mieux prendre en charge de façon participative et inclusive cette question .C’est dans ce sens qu’au delà des experts qui sont désignés pour animer le panel , Enda Energie présente une étude dont elle est commanditaire tout en prenant en charge les questions de pertes et dommages la perception des communautés afin de conforter leur place et en les intégrant dans les CDN pays .C’est pourquoi de par son approche d’anticipation en organisant le SIDE évent , ‘il s’agira pour Enda Énergie d’échanger sur l’ opérationnalisation pour faire de ce mécanisme de financement une réalité et capable de répondre aux défis comme le rappelait Mme la Modératrice Dr Aissatou Diouf et d’ élaborer une bonne planification pour une réelle prise en compte des pertes et dommages. A L’estrade des panelistes invités à animer sur ces questions de pertes et dommages donnant plus d’arguments à l’étude les expériences partagées de Fany travaillant sur ces questions , de celles Dr Adoussou du GNDR et de Fadel Diop d’Oxfam viennent .apporter à l’unisson des éclairages sur les enjeux qui complètent l’étude d’Enda sur les évolutions lentes et qui permettront d’échanger sur les mécanismes au niveau local pour mieux conforter la perception des communautés à quoi cela ressemble sous la présidence effective de Mr Emmanuel Seck Directeur Exécutif de Enda Énergie qui à l’entame de ses propos préliminaires à salué toute l’expertise sur ces questions de pertes et dommages mis à disposition dont notre pays bénéficie, des personnes ressources de qualité expertes dans leur domaine au nombre desquelles l’on retrouve M Adoussi de la GNDR , Monsieur Fadel Diop de Oxfam au Sénégal, de Fany Petit expert en plaidoyer et de Omar Cissé de Enda Énergie .De son mot introductif d’ouverture Mr Seck tire les enseignements de l’adoption du Fonds Pertes et Dommages des les premières heures des négociations pour un fond dont les premières bases étaient jetées depuis la Cop 26 à Glasgow en passant par Charm El Sheik en Égypte à la COP27.Un aboutissement heureux ! estime Mr Seck à la Cop 28 à Dubaï 3ans après pour l’adoption du Fonds Pertes et Dommages; Néanmoins il s’est interrogé de la prochaine étape compte tenu de beaucoup de choses qui restent si l’on se rapporte aux spécificités et aux exigences des communautés et démontrer comment le vécu local est important d’intégrer. Mr Seck à en outre mis l’accent sur l’anticipation qui doit rassurer en pensant à l’opérationnalisation du Fonds en termes d’accessibilité ‘de définition de critères d’éligibilité , de gouvernance , d’évaluation des besoins et de ne rien laisser de côté .recommande Mr Seck malgré les nombreux défis à relever à partir des évidences Les participants ont tous salué la bonne initiative d’Enda ,Énergie d’anticiper sur ces questions de pertes et dommages en les mettant en débat .babaclimat /journal Agropasteur
La ,BOAD pas de tout repos à la vingt huitième(28e) Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 28) organisée cette année à Dubaï /Emirats Arabes Unis. Au chapitre des innovations adoptées par l’institution financière sous-régional pour coller à l’événement c’est la mise en […]
La ,BOAD pas de tout repos à la vingt huitième(28e) Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 28) organisée cette année à Dubaï /Emirats Arabes Unis. Au chapitre des innovations adoptées par l’institution financière sous-régional pour coller à l’événement c’est la mise en place du Fonds d’Études sur le Climat (FEC) pour renforcer ses intentions en matière de financement vert dans la sous-région dont le lancement a eu lieu a la COP28Ce nouvel outil, lancé à Dubaï, va viser à mobiliser davantage de ressources financières dédiées au climat, au profit des pays membres de l’UEMOA. C’est aussi un accord de financement pour une subvention de 15 millions d’euros conclu entre la BOAD et l’AFD, l’Agence Française de Développement. Pour permettre de financer le FEC, ainsi que d’autres projets et programmes .Autant de ressources obtenues et mises à disposition , présentées comme des niches d’opportunités pour le secteur privé que la ,BOAD compte accompagner pour gagner la bataille du développement économique et social des pays où elle intervient. Dans une démarche novatrice de bonification visant la durabilité des projets .Ainsi avec la BOAD dispose d’une gamme d’instruments et de mécanismes financiers pour le secteur privé notamment le Prêt Garantie aux Investisseurs; au delà du renforcement de la collaboration avec d’institutions bancaires .La BOAD a élaboré une Stratégie Environnement-Climat 2021-2025 où découle son « Plan Djoliba » où elle invite le Secteur Privé à sa mise en œuvre. La ,BOAD facilite l’emprunt Climat à travers son approche Climat dans le domaine des, Energies Renouvelables .Elle fait de la promotion du développement équilibré des pays membres la centralité de ses interventions pour contribuer de manière amplifiée à la réalisation de l’intégration économique de l’Afrique de l’ouest. Lors de la rencontre avec le secteur privé africain, les produits financiers de la banque ont été présentés ainsi que le financement du fonds des États , d’étude climat aussi pour accompagner les études et de l’entité d’implémentation des projets dans le ,Fonds vert et ses interactions ;La banque a également présenté les trois (3)mécanismes de la, Finance Climat où elle est accréditée depuis 2011 à travers le FEM depuis 2012, le Fonds d’adaptation et le, Fonds Vert Climat depuis 2016.Ces fenêtres ouvertes permettent à la Boad d’élargir sa gamme de thématiques notamment la Biodiversité , le Changement Climatique , la, Dégradation des, Terres et de diversifier les secteurs d’intervention comme l’adaptation , l’atténuation l’élevage l’agriculture etc. avec un accroissement conséquent des ressources allouées au secteur privé En outre la BOAD compte accorder des facilités au secteur privé en se positionnant sur le segment conditionnel en s’alignant avec la convention cadre et ses différents négociateurs mais aussi le segment inconditionnel qui implique les états .de pouvoir dégager des ressources pour le changement climatique. En cela la BOAD compte accompagner le secteur privé pour développer des types de projet tout en lui facilitant le marché lui permettant d’acheter au bon prix et lui éviter d’été hors des prix selon la courbe de l’offre et de la Demande et de lui faciliter a travers un des garanties d’avoir une longue maturation é des coûts d’importance pour le secteur privé Autres facilités offertes par la BOAD c’est la mise à disposition d’outils prenant en charge tous les coûts faisant aux secteurs de l’eau et du Solaires où il existe des producteurs indépendants la, BOAD facilite le montage de projets à travers le Fonds Vert Climat (50-50%).La BOAD propose au secteur privé des extensions de garanties , la réduction des procédures entre autres. Somme toute aujourd’hui, la BOAD développe une ligne dédiée pour accompagner le secteur privé tout en tenant compte des conditions du marché et reste convaincue sur les aspects de recherches de réponses de réponses sur le marché, sur la taxation à travers une approche globalisante et durable. Et tout cela nécessite des ressources importantes que la BOAD pour mettre à disposition ; d’où la mise en place de la Fondation et aller vers le Mécénat; et ainsi aller vers des niches de richesses où le secteur est partie intégrale impulsé par un mécanisme dans le bilan carbone avec beaucoup de segments aussi bien conditionnel qu’ inconditionnel. Autre activité de la BOAD pour impulser le Secteur Privé est axée sur la Décarbonation qui résulte d’un fort engagement par rapport à la, banque et qui reste un élément complémentaire par rapport au bilan carbone pour aller de manière résolue vers le reverdissement des porte feuilles .La décarbonation est complémentaire et est indispensable pour atteindre les objectifs climatiques fixés, par la, BOAD; mais c’est également un levier de performance de la banque avec l’objectif d’aider le secteur privé à s’investir dans le moins émetteur de CO2 voire le bas carbone .Il ‘agira de disposer de l’énergie décarbonée par rapport aux énergies fossiles, afin d’inciter des secteurs à passer d’une solution fossile à une source de chaleur; Cela, fait appel à de bons trajectoires et de process doublés d’originalité pour la Boad où le secteur privé est invité pour contribuer à la » Transition Décarbonation ». Baba climat/Journal Agropasteur