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Dans son stand les visiteurs attendent d’autres demandent des prospectus et d’autres regardent les affiches et affichettes. C’est la viande dans toute sa transformation en plus des Ingrédients, l’ emballage et matériel pour l’industrie africaine de transformation des viandes et du poisson présents au SIARA de Dakar De l’avis de Mme Keller » Notre volonté est d’accompagner les professionnels de la charcuterie en Afrique en leur proposant des produits spécifiquement adaptés aux contraintes technico-économiques locales. » Véronique est spécialiste de la transformation des viandes et de l’Afrique. Constatant qu’il n’existait jusqu’à présent aucune offre adaptée pour les professionnels africains, elle créée cette société afin de fournir des produits et des conseils techniques de qualité parfaitement adaptés aux spécificités de ce continent. Son ambition c’est aider ses partenaires à grandir durablement. Elle estime qu’à mi parcours , le SIARA est calme pour le moment mais enregistre des visiteurs de bonne qualité aussi ».Mme Keller est d’avis qu’il faut plus de Sociétés Européennes et beaucoup communiquer pour la suite du SIARA avec des exposants de qualité. Une première expérience à consolider « selon Mme Keller. Tous ses produits sont spécialement sélectionnés pour l’Afrique et adaptés aux besoins des professionnels de la charcuterie et de l’agro-alimentaire..Son stand a été visité par le Ministre de l’Agriculture de la Souveraineté alimentaire et de l’élevage qui a apprécié ses solutions pour l’Agro Alimentaire notamment avec le Pack Charcuterie pour la transformation de poulets saucisson, tout type de viande; donc somme toute dans l’apiculture, l’abattage la découpe entre autres avec les partenaires; à qui de l’avis de Mme Keller « nous suivons et participons à leur formation ou au renforcement de leurs capacités « Très familière du Sénégal où elle vient depuis une quinzaine d’années, elle note avec satisfaction le changement intervenu et l’espoir est permis.; le développement de l’aviculture est amorcé et il faut qu’il se bonifie avec des méthodes plus modernes mais aussi le développement de l’embouche adossé aux cultures fourragères. », estime t-elle Babacar sene journal Agropasteur/www.agropasteur.com

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