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COP 26 Glasgow 2021 : L’Agroécologie dans le cadre de l’adaptation basée sur les écosystèmes (EbA) pour les changements transformationnels de nos systèmes alimentaires.Beaucoup des événements sont organisés en marge des négociations, pour lancer des initiatives et des publications, partager des idées sur des sujets liés aux principales procédures, et présenter de nouveaux enjeux et acteurs au processus du changement climatique. La première semaine de la COP 26 a comporté plusieurs événements sur la résilience, la nature et l’adaptation.Resilience Frontiers accueille le Résilience Lab à la COP 26 , qui explore huit voies vers une large reconnaissance du changement climatique en tant que symptôme, dont la solution est un changement de perspective mondiale, une transition vers une unité symbiotique avec la nature et le bien-être planétaire. Chaque jour, le Lab se concentre sur l’une des voies dont celui, intitulé « Agroécologie : Adaptation écosystémique en agriculture » organisé par l’Agence allemande pour la coopération internationale (GIZ), en partenariat avec TMG Research et CIFOR-ICRAF. Un événement présenté à Glasgow à la COP 26 ou les discussions ont mis l’accent sur les opportunités stratégiques pour les programmes et stratégies conjoints entre les communautés de l’agriculture et du changement climatique.Les faits saillants comprenaient que :· le système alimentaire mondial actuel détruit les écosystèmes naturels, contribue à environ un quart des émissions mondiales et ne parvient pas à atteindre la faim zéro ;des réponses systémiques sont nécessaires pour relever les défis systémiques posés par le changement climatique, l’EbA et l’agroécologie ;La mise à l’échelle doit être considérée comme la création d’un environnement favorable à l’EbA et à l’agroécologie, ce qui implique de relever les défis de longue date du développement rural, tels que la sécurité foncière, l’autonomisation des communautés et la prestation de services inclusifs ; et· de nouvelles mesures d’internalisation des externalités négatives de l’agriculture sont nécessaires, de même que de nouvelles techniques d’évaluation pour tenir compte des externalités positives.« Resilience Frontiers « est un processus d’intelligence collective de deux ans (2019-2020), suivi d’une décennie de mise en œuvre (2021-2030) qui examine l’impact des technologies de pointe et des facteurs qui menacent l’humanité. Il couvre les partenariats entre les agences des Nations Unies, les ONG internationales, les instituts de recherche et les réseaux de jeunes.Babacar sene babaclimat/Journal Agropasteur (source bulletin de négociations de la terre)

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