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La prochaine COP, celle prévue en Égypte pour sa 27 éme édition en Novembre 2022 risque de faire exception en matière de couverture médiatique à travers les engagements pris par l’Alliance Panafricaine des Médias pour les Changements Climatiques et Africa on Air qui comptent faire de cet événement africain de la COP un événement spécial .avec l’implication des médias La COP 27 se déroulera en Afrique pour la 2 eme fois e n Égypte en 2022 à Sharm Ek Sheik àprés Marrakech au Maroc en 2016 . C’est ce qui vaut la rencontre de Nairobi où une quarantaine de journalistes depuis ce 26 juillet 2022 suivent à Nairobi une formation sur les différentes thématiques relatives aux changements climatiques.Cinq ans après la COP de Marrakech, l’Afrique accueille de nouveau le rendez-vous mondial de la COP 27 qui sera une véritable conférence africaine pour progresser dans des domaines prioritaires tels que le financement climatique, l’adaptation la résilience la justice climatique et les pertes et dommages tout en tenant compte de l’Accord de Paris sur le climat .Le fait, est rare et mérite d’être mentionné, car il n’est pas courant de vivre une animation du genre à l’occasion d’une cérémonie d’ouverture d’une formation, qui plus, est consacrée aux changements climatiques dont les hommes des médias sont les bénéficiaires. C’est pourtant ce qui s’est passé ce jour 26 juillet 2022 à Nairobi, pays choisi pour accueillir cette conférence dénommée « The Africa Climate Story Media Initiative » et pour faire plus simple, il s’agit de l’initiative médiatique de l’histoire du climat en Afrique. Esmond Majanha est celui qui a fait danser tous les journalistes sous l’une de ses chansons avec comme titre « what have we done », littéralement « Qu’avons-nous fait ? » Dans un roulement de tambour mélangé à des cris d’oiseaux et des flou-flou qui rappellent la brousse, les journalistes ont repris en cœur « climate change is real », tout simplement « le changement climatique est une réalité ». C’est d’ailleurs, cette thématique qui réunit pour quelques jours une quarantaine de journalistes, tous médias confondus venus des quatre coins du continent.Une rencontre à enjeu multiple pour les médias à Nairobi où le Coordonnateur International du PAMACC (Alliance Panafricaine des médias pour le changement climatique), Isaiah Esipisu, a magnifié dans son mot de bienvenu le rôle important que jouent les journalistes dans la diffusion de l’information, et les exhorte à plus d’attention aux communications afin d’en tirer les éléments essentiels à leur travail en vue de mieux porter la cause climatique. Le Ministre kényan de l’environnement Kériako Tobiko a marqué les esprits par son franc parlé en insistant sur les limites de blocage des africains pour faire face à leur résilience notamment « le manque d’investissement et l’absence de capacité ». Il a plaidé lors de son allocution pour des solutions idoines et spécifiques à appliquer au continent africain dans le cadre du changement climatiqueDe telles rencontre de l’avis du Ministre Kenyan de l’Environnement sont, sans nul doute, des occasions de renforcement des capacités des journalistes pour leur permettre de mieux faire leur boulot, celui de partager les informations avec les populations.  » estime t-ilUne rencontre hybride qui a permis l’intervention d’autres acteurs avertis des questions des changements climatiques par vidéo conférence pour rappeler quelques informations utiles liées au réchauffement climatique. C’est le cas de l’Ambassadeur Ayman Amin, dont le pays accueille la COP 27. « Egypte 2022″L’agriculture, selon lui, est prévue pour être la question principale de discussion au cours de cette grande messe climatique et elle est à tout pointe vue une question importante pour les africains. C’est aussi l’intervention d’Ephraim Mwepuya Shitime, Chef du groupe des négociateurs africains dont sa communication est axé autour des principaux sujets qui ont fat l’objet de plusieurs traitements dans les COP respectifs à savoir l’adaptation,, les pertes et dommages, le transfert de technologie.L’espoir est permis pour les participants que la COP27 en Égypte 2022 Sharm El Cheik puisse ouvrir de véritables perspectives pour un continent qui » paie pour une faute qu’il n’a pas commise ».Babacar sene babaclimat/www.agropasteur.com/ PAMACC News Agency)

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