L »ONG Française CARI et ses partenaires sont présents à la COP15 de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification, à Abidjan (Côte d’Ivoire).Ce sont des SideEvent proposés par le CARI mais aussi sa presence au i Stand Afrique et les séries d’animation au stand CSFD/IRD/CARILa COP 15 c’est aussi pour CARI ses contributions et ses partenaires et les programmes hors mur comme en témoigne l’agenda chargé articulé autour des activités de : side-event proposé dans le cadre d’AVACLIM / L’agroécologie, une voie pour atteindre la prospérité d’ici à 2030 mais aussi proposé en partenariat avec le SPONG / Agroécologie et agroforesterie, alternatives durables à la gestion durable des terres au Sahel et avec Agrisud International / Agroécologie et approches territoriales : au-delà des mots, des méthodes et des outils pour agir ; avec DANAYA / Comment lever les freins au succès de la Grande Muraille Verte d’ici à 2030 ?Ai stand Afrique des sites Event sont proposés par le CARI / Désertif’actions : des solutions agroécologiques pour inspirer la transition; sur la Grande Muraille Verte, comment agir au plus près des acteurs locaux? Et par le SPONG / Le plaidoyer comme outil d’amélioration de la résilience des communautés face aux chocs climatiques: engagements du programme BenkadiLe réseau Climate Chance pas en reste sur / Les collectivités locales s’engagent dans la lutte contre la désertificationD’importantes animations au stand CSFD/IRD/CARI prévues notamment celle de CSFD sur la Gouvernance foncière et lutte contre la dégradation des terres; il s’agira d’ alimenter et favoriser le dialogue science-politique sur la résilience à la sécheresse, Gouvernance foncière et lutte contre la dégradation des terres, telles sont les thématiques développées sur le stand mutualisé de l’IRD x CARI ONG x Comité Scientifique Français de la Désertification (CSFD) lors de ces deux jours sur le site de la COP15. , celle du CIRAD sur Mesurer l’agroécologie, de CARI sur Désertif’actions, l’agroécologie au coeur des solutions et sur l « Agroecology Right Now » : partage d’expériences entre praticien/nes de l’agroécologieC’est aussi l’ Animation de IRD sur Un réseau de recherche régional transdisciplinaire actif et engagé sur les terres et les territoires de la zone de la Grande Muraille Verte et celle du CIRAD sur Pastoralisme et Grande Muraille VerteAu chapitre des contributions du CARI et de ses partenaires c’est le Side-event proposé par le ministère de l’Environnement du Niger / Gouvernance des Oasis pour un développement intégré et résilient , celui proposé par Both ENDS sur Financer l’agroécologie pour atteindre la neutralité en termes de dégradation des terres et celui proposé par Agropolis International et le CSFD / Alliances stratégiques de connaissances pour des actions et des innovations en vue de la réussite de la Grande Muraille Verte à l’horizon 2030Pour la programmation hors mûrs .elle relève de proposée par l’IRD, l’Institut français et le CARI, à Institut français d’Abidjan sur Une TERRE, des SoLutions : Table-ronde agroécologie, expositions, cocktail, concertLe CARI et ses partenaires sont présents à la COP15 de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification, à Abidjan (Côte d’Ivoire).Le CARI aux côtés de ses partenaires de L’IRD en Afrique de l’Ouest et centrale pour échanger avec les experts sur les problématiques liées à la dégradation des terres et les initiatives, solutions mises en place. Les personnes présentes ont également pu découvrir les expositions de de lIRD de l’Agrisud International et une sélection des concours de dessins de presse de Desertif’actions.Très beau succès pour le side-event tenu dans le cadre du projet AVACLIM à la Cop15Facilité par Noel Oettle, responsable de la composante 1 du projet, l’événement a permis de réunir Graciela Metternicht, chercheuse et ancienne membre de l’interface science-politique de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la desertification, Wendyam Émeline Ouedraogo, point focal neutralité en matière de dégradation des terres au Burkina Faso, Eugene Rurangwa, chargé des terres et de l’eau au bureau régional de la Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) pour l’Afrique, Jean-Marc Sinnassamy, expert en environnement au Global Environment Facility. En outre, deux partenaires du projet Avaclim Aldrin Martin Perez-Marin, de la composante recherche au Brésilet Yousra Abourabi, de la composante plaidoyer au Maroc, ont pu présenter leurs résultats.Ainsi pendant 2 semaines, les représentants des 195 pays membres de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification vont tenter à Abidjan de se mettre d’accord sur une série d’objectifs avec une ambition : stopper l’accroissement de la désertification qui menace 40 % des terres émergées… Comment relever ce défi ? Avec quels moyens, quels acteurs ?- Patrice Burger, président fondateur de l’ONG CARI, membre du panel d’experts de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, co-président du réseau international Drynet, qui fédère les organisations de la société civile dans la Convention. « Terre. Vie. Héritage : de la rareté à la prospérité » : c’est le thème de la COP désertification, la COP 15 qui s’est ouverte le 9 mai 2022 à Abidjan, en Côte d’Ivoire. De l’Afrique subsaharienne à l’Asie centrale en passant par le Proche-Orient, des centaines de millions de personnes souffrent actuellement de la sécheresse, phénomène aggravé par le réchauffement climatique et par l’activité humaine. On manque d’eau, le désert avance, les sols se dégradent, les prix des denrées alimentaires grimpent et la pauvreté s’accentue. »Il participait à un panel sur la Grande muraille verte au Sahel ! Initié en 2005 par l’Union africaine, démarré en 2007, le projet d’ériger une Grande muraille verte au Sahel avait suscité beaucoup d’espoir. 15 ans après, où en est-on ?Pour rappel le CARI est une association (loi 1901) de solidarité internationale qui agit depuis plus de 20 ans dans la lutte contre la désertification.Le CARI promeut un modèle agricole durable (agroécologie, agriculture familiale) pour répondre à la problématique de dégradation des terres en zones arides. Le CARI ne souhaite pas se substituer aux compétences locales. Il accompagne des organisations de la société civile et des collectivités locales. Fort de ses projets menés dans une vingtaines de pays, majoritairement au Maghreb et au Sahel, le CARI est une référence auprès du gouvernement français et de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.Babacar sene journal Agropasteur/babaclimat