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Le Sénégal vient de signer le traité BBNJ, s’engage ainsi à la protection des océans, surtout la haute mer.L’approche de précaution est à prendre en compte dans l’exploration et l’exploitation des grands fonds. L’océan est un tout. Ce qui se passe en haute mer impacte aussi sur le littoral où se passe l’essentiel des activités humaines, pêche, transport, tourisme etc. Bonne nouvelle mon grand .Mais néanmoins des défis restent à relever souligné certains acteurs qui estiment que le Sénégal devra renforcer ses capacités scientifiques, juridiques et logistiques pour tirer pleinement profit du traité.D’autres soutiennent l’Union autour de la solidarité Commune pour que la voix de l’Afrique de l’Ouest soit unie dans la mise en œuvre de ce traité. Et que l administration des pêches senegalaise implique de manière systématique les armements thoniere dans toutes les actions car ce sont les plus concernés .C’est véritablement une bonne nouvelle a inactif de nos vaillants experts malgré les défis qui restent à étre relevé A noter qu’en marge de la 3e Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC3), qui se poursuit jusqu’au 13 juin, la députée Fatou Diop Cissé Goudiaby, Présidente de la Commission des Affaires étrangères, des Sénégalais de l’extérieur et de l’Intégration africaine de l’Assemblée nationale du Sénégal, a pris part, au nom du Président de l’institution parlementaire, Monsieur Malick NDIAYE, aux travaux du Parlement de la Mer organisés ce dimanche 8 juin au Centre Universitaire Méditerranéen (CUM) de Nice, en France.Cette rencontre a été marquée par une matinée riche en échanges, en présence de l’Honorable Eléonore CAROIT, députée des Français de l’étranger et vice-présidente de la Commission des Affaires étrangères au Parlement français, ainsi que de parlementaires venus d’Afrique, d’Europe et des Amériques .Il a été rappelé avec insistance que les parlementaires ne doivent pas être de simples observateurs lors des grands rendez-vous internationaux. En tant qu’acteurs centraux de l’élaboration des lois, du contrôle de l’action gouvernementale et de la ratification des traités, leur implication dans la gouvernance de l’océan est cruciale.L’accent a été mis sur la nécessité de renforcer l’action politique en faveur de la protection des océans, notamment par une plus grande implication des représentants parlementaires dans les défis globaux liés au climat : dérèglement climatique, pollution marine, surpêche illégale, érosion côtière, et exploitation non durable des ressources marines.Pour rappel la Conférence UNOC3 a pour objectif de promouvoir une action urgente et concertée pour la préservation et l’utilisation durable de l’océan, des mers et de leurs ressources, dans le cadre du développement durable. À titre de rappel, l’océan couvre plus de 70 % de la surface terrestre, produit 50 % de l’oxygène que nous respirons et absorbe 30 % du CO₂ généré par les activités humaines.Babaclimat Climat

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