Agropasteur

La salle Tilapia 2 a refusé du monde venu assister à la rencontre de présentation de l’Initiative et d’illustrations de projets concrets et d’échanger sur le sujet avec l’ensemble des partenaires dans le but d’améliorer l’Agenda voire le chronogramme d’activités mais aussi le plan d’action stratégique qui engage le « TSARA ». Dr Tamsir Mbaye en faisant la synthèse est largement revenu avec notre reporter sur l’importance de « Transformer les systèmes alimentaires et l’agriculture par la recherche agricole en Afrique » ou TSARA pour faire converger les enjeux / défis de la recherche agricole av ec les orientations de l’Union africaine et de l’Union Européenne. De l’avis de Dr Mbaye « cette recherche est portée par des institutions du Nord comme le Cirad et l’Inrae et du Sud comme l’ARC en Afrique du Sud, l’université de Harare, l’UCAD et l’Isra du Sénégal. Au chapitre des institutions partenaires , elles sont au nombre de 19 informe Dr Tamsir Mbaye et qui ont signé la charte et dont espère t-il en avoir d’autres lors de la prochaine AG qui se tiendra le 25 janvier 2024 au Sénégal où la gouvernance du TSARA sera assurée par l’ISRA et le Cirad. Sur les thématiques de recherches en cours Dr Tamsir Mbaye informe qu’elles sont au nombre de huit( .elles sont interconnectées à savoir: la Transition agroécologique, la préservation des sols et la lutte contre la désertification, la gouvernance de l’eau, l’adaptation des territoires agroforestiers africains, le développement de l’approche ‘One Health une seule santé la lutte contre la sous nutrition, les carences et les maladies chroniques, les systèmes agricoles et les filières , la place de l’élevage pour le développement de l’Afrique et les modèles à soutenir », avec des thèmes transversaux en cours d’identification ou potentiellement importants .notamment les opportunités du numérique, la gestion des risques, les aléas climatiques et les incertitudes .Pour Dr Tamsir Mbaye « le Projet travaille avec l’union Européenne et l’union Africaine dans la Co-construction pour être connecté avec les priorités de l’heure « .Le Salon International de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA2023) a accueilli ce Side Event TSARA pour la mise en commun des besoins des producteurs dont nous nous réconfortons de sa réussite; à travers ce cadre , le projet viendra renforcer la formation , l’information des chercheurs par la mobilité , l’interdisciplinarité pour adresser les thématiques complexes et créer un pont Europe Afrique autour de ces questions .Dr Tamsir Mbaye est en outre revenu sur l’état d’avancement du projet crée depuis 2022 avant de partager les expériences sur le projet pilote élaboré pour promouvoir les transitions aussi bien en Europe qu’en Afrique. En termes d’eau, Agriculture systèmes alimentaires , sols emploi etc .Il a terminé pour conclure sur l’importance de ce side event qui a regroupé dans la Salle Tilapia2 au Parc des Expositions d’Abidjan les parties prenantes venus échanger sur le sujet et donner des orientations majeures sur les priorités en cours et moyen terme , sur la vision au delà de l’ambition et pour la durabilité. « In fine , il s’agira de construire ensemble un partenariat ambitieux de recherche-formation -innovation pour partager connaissances méthodes et réseaux et monter des projets en faveur de systèmes alimentaires productifs résiliants , autonomes et durables , d’une création d’emplois de, qualité, de la préservation des ressources et de la santé globale .Babacar sene Journal Agropasteur

Comme à chaque édition du SARA  la Région Auvergne Rhône Alpes(AURA) est présente  mettant en avant ses liens avec la Cote d’Ivoire qui fait partie selon le Vice-Président Philippe Meunier de la Région Auvergne Rhône Alpes délégué aux relations internationales « la Cote d’Ivoire fait partie  des pays ciblés par le schéma stratégique régional de développement économique et d’internationalisation des entreprises »

L’expertise de cette est illustrée par la diversité  et le nombre très important d’entreprises membres de la délégation régionale présente au SARA2023 6éme édition qui vont contribuer  à trouver des solutions aux défis que représentent  l’amélioration du secteur agricole et la garantie de la souveraineté alimentaire et de l’innovation qui l’accompagne principaux thèmes de cette 6éme édition du SARA 2023

L’événement pour lequel Monsieur Christian Louis Expert de la Délégation Elevage tire le bilan, constitue une formidable opportunité de présenter aux professionnels ivoiriens toute l’expertise nécessaire  et d’initier de nouveaux partenariats économiques ; il s’agira lors de ce salon de renforcer les synergies entre les acteurs des territoires respectifs ;

Un des temps forts de la vitalité de la coopération entre les deux pays la France et la Cote d’Ivoire que constitue l’organisation du SARA  du fait des liens séculaires  qui ont consolidé un partenariat qui aujourd’hui a montré son efficacité avec des réalisations concrètes ;

La délégation Elevage est  accompagnée de trois Experts dont  M. Christian Louis Directeur Général de la Fédération Internationale des Communes Pastorales de France  avec qui le  bilan de la participation de la délégation Elevage de la Région Auvergne Rhône Alpes(AURA) /Chambre Régionale de l’Agriculture AURA est tiré ; un bilan positif et satisfaisant  selon  M. Christian Louis Expert /Délégation Elevage  AURA  au bout  de la situation avec les ivoiriens

« Saluer la présence des autres experts de la délégation élevage de la grande délégation Auvergne Rhône Alpes (AURA) avec qui nous avons mené la mission  en l’occurrence Jean Luc Vice-président du CORAM  et Serge Président Associé Leadership France en compagnie de la délégation régionale ;

Les  visites effectuées au  Centre National Ovin (CNO) de Béoumi, de la Station de Recherche sur l’Élevage et de la Délégation Régionale du Centre National de la Recherche Agronomique (CNRA) à Bouaké,et la  réunion de travail au CNRA suivie des visites de courtoisie au Maire et au Président de la Région du GBÉKÉ de la FNCP-CI, de la FNCP de France, du Président de LEADER Sheep, du CNO et du CNRA en sont illustratives

Sommes toutes de l’avis de Christian »Nous sommes parvenus à mener de bonnes activités avec notre interlocuteur le Ministère des Ressources Animales et Halieutiques (MIRAH) illustrées par la signature de la lettre d’intention  qui nous a facilité les missions entreprises où il nous a accompagné avec vingt-trois (23) projets et chefs de projets ; au résultat final c’est la rencontre avec six chefs de projets pour les six projets  sélectionnés  à BEOUMI et à BOUAKE  notamment le Projet d’Amélioration des Petits Ruminant PROOVINS pour la réhabilitation du centre ovins qui sera réhabilité sur 500 Hectares avec les bâtiments les troupeaux ;

A Bouaké qui est un carrefour important a la croisée des chemins Mali Cote d’Ivoire  où trône le centre nationale de Recherche Agricole (CNRA)  , plusieurs axes sont définis pour la réalisation d’un centre d’expérimentation en Elevage et le développement du pastoralisme compte tenu de sa spécificité pastorale en termes de bétail et productions animales(viandes)  notamment.

En somme de l’avis de Christian Louis « un bilan positif tiré des analyses faites de la situation avec les ivoiriens ;

Et L’expert de la Délégation élevage de revenir sur le rôle important des  Communes Pastorales qui  parallèlement sont à l’intérieur de la délégation élevage pour donner de la visibilité ; ce sont des collectivités territoriales communales régionales qui  doivent  accompagner la Fédération Nationale des Communes Pastorales de Cote d’Ivoire en collaboration avec les Maires le MIRAH entre autre ;

Elles constituent aussi un Second Bilan Intermédiaire du SARA 2023 avec la FNCP-CI.

Avec la création  du « Pôle Afrique » des Fédérations Nationales des Communes et des Collectivités Pastorales (FNCP) c’est un des préalables à la création de la Fédération Internationale des Communes et des Collectivités Pastorales (FICCP),

Somme toute des enjeux de taille à double facette dont l’idéal est de rentabiliser et développer le sous-secteur de l’élevage et la promotion du pastoralisme  en se basant sur des stratégies tendant à  mieux faire reconnaitre plus l’élevage dans sa globalité en termes de développement économique .

 Les activités  annexes se résument non seulement par tenue de  la première réunion avec le Coordonnateur du MIRAH Responsable du Projet de la Gestion de l’Espace Rural et Pastoral auquel les Collectivités Territoriales sont associées ce qui va permettre à la FNCP-CI de participer à ce Projet et de signer une première Lettre d’Intention avec le MIRAH mais aussi la réunion de travail avec le Directeur Général Adjoint de la SAED en déplacement au SARA 2023 et la confirmation de l’intention de la FNCP de France de travailler ensemble avec les Maires et la  réunion de travail entre la FNCP Pôle Afrique , la FNCP-CI et la FNCP de France.

Babacar sene journal Agropasteur

Dr Matar Ndiaye est conscient que l’atteinte et le maintien de la souveraineté alimentaire nécessitent la fourniture de technologies agricoles aux agriculteurs à grande échelle, l’augmentation de la production alimentaire et la croissance des investissements dans les systèmes alimentaires et agricoles ; le Sénégal s’est doté d’une stratégie Nationale  de Souveraineté Alimentaire qui sera mise en œuvre à partir  de 2024,en vue d’ accroître les surfaces cultivées et dynamiser les productions agricoles et horticoles afin de réduire les importations.

 Mais la stratégie vise aussi à poser  les bases favorables à la diversification des productions agricoles qui est un puissant levier dans l’amélioration des revenus des ruraux et de la sécurité alimentaire »et permettra  le développement de filières d’exportations correspondant à la demande internationale tout en répondant aux besoins pressants de substitution aux importations de produits alimentaires, et de soustraire notre pays aux aléas des marchés mondiaux .

C’est dans ce cadre que s’inscrit la participation du Sénégal au SARA d’Abidjan 2023 dont explique Monsieur Matar  Ndiaye  à travers les impressions livrées au Journal Agropasteur  au Parc des Expositions d’Abidjan.

«  Saluer la pertinence du  thème  consacré à  « L’agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour […]

C’est dans ce cadre que s’inscrit la participation de manière active  du Sénégal  qui a pris part à ce grand événement agricole  pastoral et halieutique  d’envergure internationale avec l’interprofession Manioc pour la recherche de variétés de Manioc  adaptées à  la production et la transformation du Manioc en  Atiéké au Sénégal , mais aussi le programme Maïs  hybride et celui du Blé autant de dynamiques qui ont tous un dénominateur commun le développement agricole et l ‘atteinte de la souveraineté alimentaire.

Avec nos partenaires technique et financière de l’AURA Auvergne Rhône Alpes En outre, nous avons tenu à organiser une session de renforcement de la concertation entre les professionnels des filières agricoles principales où  des progrès remarquables ont été réalisés dans le secteur afin de favoriser l’émergence d’un entreprenariat agricole et rural et de soutenir les exploitations agricoles.

La  compréhension des dynamiques et des stratégies adoptées par les interprofessions a été notée   ainsi que l’identification, de manière concertée avec les organisations de producteurs, des solutions organisationnelles et techniques plus viables afin de garantir la durabilité ;

Somme toute de l’avis du Dr Matar Ndiaye Directeur de l’Agriculture du Sénégal « il s’agissait de porter notre vision de développement à l’international pour plus d’ouverture face au développement de nos filières agricoles « ..

Babacar sene journal Agropasteur/babaclimat

Le Premier Ministre ivoirien a fait le plaidoyer de la transformation locale à la clôture de la 6e édition du SARA ce dimanche au Parc d3s Expositions d’Abidjan Selon le Premier Ministre  » la réussite de la transition des économies africaines vers davantage de transformation locale relève d’un impératif catégorique . »Ainsi Patrick Achi jette les bases du développement de nos économies et de notre prospérité continentale en étalant tout le potentiel agricole de notre co tire t qui ne doit être en reste dans le commerce ensemble ou l’Afrique au delà d’être fournisseur de produits qui est loin d’être sa vocation dit -il mais aussi produire, transformer et consommer ses richesses et les exporter. Le Premier Ministre s’est également félicité du succès exceptionnel et des résultats probants de cette 6e édition du SARA : 400 000 visiteurs, contre 360 000 en 2019; 862 exposants, contre 586 en 2019 et 403 milliards de FCFA d’intentions d’investissements, contre 238 milliards de FCFA lors de la 5e édition.Abidjan a vécu le SARA 2023 , la présence du conteneur multifonctionnel ce micro usine de transformation prouve à quel point les autorités ivoiriennes en charge de l’Agriculture et des Ressources Animales recherchent des solutions innovantes pour dynamiser et pérenniser les activités de transformations agricoles la voie originelle de développement de notre Agriculture tout en luttant contre les pertes post récoltes qui selon l’Organisation Onusienne la FAO , envoisinent près de 50 % .Une innovation de taille à laquelle souscrit l’état et les producteurs ,qui cadre avec le thème du SARA 2023 « l’Agriculture Africaine face aux défis des chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la Souverainte alimentaire .Le SARA vise la valorisation la promotion et le développement de toutes les richesses du secteur agricole de l’élevage et de la pêche dans un pays dont la stabilité et une forte croissance économique ne sont plus à douter .Rendez vous est pris pour 2025 pour la 7 ème édition du Salon International de l’Agricultutre et des Ressources Animale de la Côte d’Ivoire .Babacar sene journal Agropasteur

Le SARA constitue un événement majeur dans l’agenda agricole de la Côte d’Ivoire. Pour cette année 2023 il est à sa 6 ème édition axé sur le thème « L’agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et la souveraineté « Ainsi durant dix jours durant, du 29 septembre au 8 octobre 2023, la 6ème édition du Salon international de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA) réunira tous les experts du monde agricole .Le SARA a, comme chaque année, l’objectif de valoriser, promouvoir et développer toutes les richesses du secteur agricole, de l’élevage et de la pêche de la Côte d’Ivoire. Il est en outre l’occasion pour les professionnels de procéder à des échanges d’expériences, de nouer des partenariats et d’établir des opportunités d’affaires.C’est dans ce cadre que s’inscrit la participation de manière active du Sénégal qui a pris part à ce grand événement agricol pastoral et halieutique d’envergure internationale.Ce qui a justifié la présence du Directeur de l’Agriculture du Sénégal Dr Matar Ndiaye avec à ses côtés le Président de l’Interprofession Manioc Assane Ndiaye et les responsables de la SAED venus exprimer le message du Sénégal pays soeur mais également tenir compte à la fois des opportunités à saisir pour transcender les défis majeurs liés à l’atteinte de la Souveraineté aimentaire où l’on note le rôle important que devront jouer les filières agricoles; notamment le Maîs avec la variété hybride et le manioc oû d’importantes opportunités ont été saisies au SARA2023.L’Agriculture ivoirienne a amorcé un virage important dans l’atteinte de l’ autosuffisance alimentaire, mais aussi et surtout, observer une mutation vers une agriculture pourvoyeuse de plus d’emplois, de plus de valeur ajoutée, et productrice de revenus afin d’impacter durablement et qualitativement la vie des producteurs.Le secteur agricole sénégalais a connu, dans ces dernières années, une évolution importante afin de s’adapter aux changements intervenus dans l’environnement économique et social en termes de libéralisation et de mondialisation de l’économie,d’ augmentation de la pression démographique, etc.Grâce au soutien du gouvernement et à l’implication des privés et des partenaires au développement, des progrès remarquables ont été réalisés dans le secteur afin de favoriser l’émergence d’un entreprenariat agricole et rural et de soutenir les exploitations agricoles .Les exploitations agricoles sont devenues de plus en plus réactives aux exigences des marchés et ont bénéficié d’intrants de qualité et de techniques plus performantes en termes de semences de qualité de variétés améliorées, ainsi que d’une majeure diffusion des informations sur le marché (SIM). En outre, on a assisté au renforcement de la concertation entre les professionnels des filières agricoles principales.Toutefois, les exploitations souffrent toujours de faiblesses organisationnelles, productives et au niveau de la transformation et de la commercialisation des produits, et du manque d’expertises et de dynamisme nécessaires pour la gestion de l’activité agricole et l’interface avec le nouveau contexte productif et économique. Ces contraintes entravent la durabilité des exploitations agricoles, et risquent d’amorcer un processus de retour aux systèmes traditionnels en aiguisant la marginalisation du monde rural.La compréhension des dynamiques et des stratégies adoptées par les exploitations agricoles pour interagir avec le contexte qui change a poussé les filières a l’évaluation de leur performance dans leur système de production de transfotmation pour mettre à profit les fifferentes innovations existantes ; cest tout le sens de la présence de la filiere Manioc qui compte introduire de nouvelles variétés pour la transformation en Atiéké et de la rentabilité économique des exploitations agricoles ;l’identification, de manière concertée avec les organisations de producteurs, des solutions organisationnelles et techniques plus viables afin de garantir la durabilité de l’exploitation ; l’accompagnement des agriculteurs dans le processus d’adoption des nouvelles techniques et la création d’expertises ad hoc, en lnle renforcement des synergies entre la recherche agricole et les organisations professionnelles, s’avèrent une nécessité impérieuse afin de soutenir la mise en réseau des acteurs qui concourent à produire, transformer, distribuer commercer ensemble et consommer leurs produits .Selon Dr Matar Ndiaye Directeur de l’Agriculture Sénégalaise  » la présence du Sénégal au SARA 2023 s’inscrit par l’expression de nos importants besoins à vocation sénégalaise pour ce qui concerne l’atiéké que nous voulons produire au Sénégal oû nos variétés de Manioc ne le permettent pas ; d’où cette opportunité à saisir en compagnie de l’interprofession Manioc de venir chercher des variétés ivoiriennes qui pourront nous satisfaire .cest veritablement une opportunite à saisir .Le Sénégal a lancé un programme pilote de Maîs hybride cette année sur 25.000 hectares avec des partenaires que nous sommes venus rencontrer au SARA notamment l’IDA et MAS Seed avec qui des séances de travail sont tenues dans le cadre du suivi évaluation .La délégation du Sénégal n’est pas de tout repos au SARA d’Abidjan .c’est une ossion de rencontrer la délégation francaise (AURA)Auvergne Rhône Alpes avec une forte participation des entreprises francaises où de bonnes opportunités ont été saisies suivies de réunions de travail.Dans cette même voie le Sénégal a pris option cette année le retour du Blé avec un programme de plus de 3000 hectares de blé et les récoltes doivent être transformées ; .ce qui justifie la rencontre des autorités sénégalaises à l’école des transformateurs francais de blé .étant entendu que la région de Auvergne Rhône Alpes est une puissante région aussi bien sur le plan économique, industrielle et agricole. Nous avons salué la présence des responsables de la SAED qui étaient dans la délégation lors de session de travail avec la délégation AURA.Somme toute de l’avis du Dr Matar Ndiaye Directeur de l’Agriculture du Sénégal « il s’agissait de porter notre vision de développement à l’international pour plus d’ouverture face au développement de nos filières agricoles « .La filière Manioc est très importante pour le Sénégal il suffira de faire plus de transformation pour une plus value mais aussi aller à l’offensive de l’atteinte de la Souveraineté alimentaire laquelle le Sénégal souscrit à travers la stratégie de souveraineté alimentaire mise en place .Babacar sene journal Agropasteur/babaclimat